
Plassard vous présente Garance
Saviez-vous que la journée mondiale contre le cancer a lieu le 4 février ? C’est aujourd’hui !
En y réfléchissant, nous sommes tous touchés, de près ou de loin, par cette maladie. Beaucoup des clients de Plassard sont des clientes. Et certaines sont concernées directement ou indirectement par le cancer du sein.

Deux entreprises françaises
Plassard a souhaité profiter de ce jour spécial pour s’associer à la marque française Garance Paris.
Et à la clé, une surprise : les frais de port sont offerts pour tout achat d’un article sur le site de Garance, grâce au code « FDPLP » (à entrer lors de la récapitulation du panier).
Les deux entreprises unissent aujourd’hui leurs voix et se présentent à leur communauté respective. Deux entreprises françaises, dont le savoir-faire est toujours en lien étroit avec l’amour des belles matières. Chez Plassard : la laine, le cachemire, l’alpaga, le mohair, la soie, le coton, bref les fils 100% naturels; chez Garance : le coton doux, la dentelle belle et confortable (avec un peu d’élasthanne pour parfaitement épouser la peau), le tissu anti-UV des maillots de bain. Des mailles européennes pour la lingerie et maille italienne pour le bain.

L’histoire de Cécile Pasquinelli Vu-Hong
Mais avant tout, les présentations ! Qui se cache derrière Garance ? La marque est portée par Cécile Pasquinelli Vu-Hong, atteinte d’un cancer du sein au printemps 2010. L’histoire commence à Antibes. « C’était un beau jour de l’été, raconte Cécile, dans une de ses grandes résidences du Sud. Vous savez, celles qui ont de si belles piscines. J’étais là, essoufflée par le combat avec la maladie mais bien dans ma tête, heureuse de ces moments bénis en famille, bien décidée à savourer ce doux repos ensoleillé.
Je m’étais réveillée au chant des grillons en pensant déjà aux longueurs infinies que je ferais, une nage délicieusement rafraîchissante… J’entendais presque alors le bruit de mon corps immergé dans l’eau.
J’avais enfilé ce maillot, ni tout à fait laid mais certainement pas beau, trouvé au prix d’interminables essayages, qui masquait un peu de ce corps que je n’avais pas envie de montrer.
Et c’est alors que je l’ai vue. Elle, la fille aux longs cheveux blonds, Ursula Andress de mon époque. Elle faisait ce geste si simple de torsader ses cheveux au-dessus de son épaule droite pour les essorer en sortant de l’eau.
J’étais captivée par ses mouvements si féminins, si habituels, si… étrangers.
Je n’avais alors jamais réalisé à quel point ma façon de me mouvoir avait évolué. Toujours joliment apprêtée, une collection de foulards aux beaux imprimés dans mon placard…
J’avais la sensation que j’étais jolie malgré la maladie.
La révélation fut alors glaçante, le cancer avait abîmé ma féminité.
A cet instant précis, je me suis sentie laide.
Toutes les femmes autour de moi me semblaient si belles, leurs cheveux mouillés séchant à l’air libre et bouclant avec cette grâce que leur donne l’été, toutes portant des maillots choisis avec soin, soulignant leur silhouette ou la couleur de leur yeux, leur décolleté ou les jolies rondeurs sur leurs hanches…
Tout d’un coup le mien était définitivement laid et moi ridicule. Mon foulard jurait avec, et je ne pourrais pas mettre la tête sous l’eau, et encore moins essorer ces cheveux que je n’avais plus.
Je voulais moi aussi faire ce geste par-dessus mon épaule et accrocher mon maillot dans le cou, comme je l’avais toujours fait.
Je voulais me comporter comme elles toutes, en femme. Affaiblie peut être mais toujours féminine !
Tout le charme des vacances et mes aspirations du réveil s’étaient évanouies.
Et c’est à cet instant précis que Garance est née.
La révélation de cette féminité abîmée avait réveillé une colère qui grondait en moi.
Pourquoi devait-il être si difficile de se sentir femme après un cancer du sein ? Pourquoi n’existerait-il pas un maillot dans lequel je me sentirais belle, une jolie collection que je pourrais acheter dans le même magasin qu’elles ?
J’ai alors décidé qu’aucune femme n’aurait jamais plus à vivre ça.
J’allais me battre pour changer les choses. Pour que la mode améliore la qualité de vie de toutes celles qui avaient et allaient mener le même combat que moi.
J’avais le temps, je n’avais peut être pas l’énergie, mais j’avais l’envie.
Et je l’ai fait ! »

Garance, bien plus qu’une marque de mode
En quelques années, Cécile Pasquinelli Vu-Hong a développé la marque, s’entourant d’une équipe et choisissant des égéries« dans la vraie vie », touchées elles aussi par la maladie.« Garance est bien plus qu’une marque de mode,confie Cécile. Elle propose bien plus que des maillots de bain ou bien de la lingerie post opératoire. C’est une réelle aide pour les femmes. Une aide à la reconquête d’une féminité abimée ».

Et le tricot alors ?
« J’ai tricoté et crocheté étant petite, se souvient Cécile ; je réalisais des vêtements et des manteaux pour mes poupées. J’aime voir un tricot se construire et le motif apparaître au fil des rangs. C’est un travail qui demande de la patience et dont on est tellement satisfait une fois l’ouvrage terminé. Mais j’avoue ne pas avoir tricoté depuis longtemps. Le « faire soi-même » passe chez moi par la cuisine ! Je consacre une bonne partie de mon dimanche à préparer les repas de la semaine pour toute la famille. Travailler des éléments bruts et les transformer en gâteaux, plats mijotés et autres mets appétissants… voilà qui me plait beaucoup ! »
Cécile Pasquinelli Vu-Hong ? Une femme exceptionnelle, à la tête d’une entreprise 100% française à suivre de près !
Suivez les aventures de Garance sur les réseaux sociaux ! Et découvrez la collection de lingerie et de maillots de bain sur le site ou en boutique, 27 rue Domremy dans le 13earrondissement de Paris ( liste de revendeurs).

Et n’oubliez pas : les frais de port sont offerts pour tout achat d’un article sur le site de Garance, grâce au code « FDPLP » (à entrer lors de la récapitulation du panier).
Toutes et tous unis contre le cancer !

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